Les défis de notre temps sont notre cadre d'action.


Verdi met au service de ses clients l’ensemble des expertises de l'aménagement des territoires et de la construction afin de concevoir des solutions innovantes :
Cadre de vie
 
Territoires
Bâtiment durable
Mobilités
 
Équilibre des ressources
 
Transition énergétique
Gestion des ressources
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Réinventer les territoires à partir des usages

Adeptes d’une ingénierie territoriale humaniste et engagée, notre boussole est la compréhension en profondeur des usagers et des évolutions passées et futures de leurs modes de vie. Notre démarche est celle de l’intelligence collective, au croisement des expériences vécues, des expertises techniques et de la créativité de chacun.
Innover en designer

On ne peut plus continuer à concevoir des produits et des services pour une vie quotidienne dans laquelle la planète, ses cycles et ses contraintes n’existent pas. C’est dans ce cadre que nous déployons nos efforts en matière d’innovation. Nous le faisons avec ceux qui savent, ceux qui vivront les lieux.
Avec humilité, ingéniosité,
nous visons l’harmonie.
Verdi est un groupe familial indépendant de, planneurs, ingénieurs, architectes, urbanistes, écologues-environnementalistes, consultants… et spécialistes techniques, ouvrant sur tous les aspects de l’aménagement des territoires et de la construction.
 
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Actualités
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Réduction des ICU sur Paris entre 2020 et 2023
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Ouest France | 23.03.2024
Parthenay : Une nouvelle bâche pour que l'eau coule
de source au robinet
En créant une nouvelle réserve d'eau potable de 1 400 m3, le Syndicat Mixte des eaux de la Gâtine peaufine son maillage du territoire. Et assure le transport de l'eau dans des conditions optimums d'est en ouest et du nord au sud de Parthenay.
Mise en service à l’été dernier, la toute nouvelle bâche de stockage d’eau potable de Parthenay a été officiellement inaugurée ce vendredi 22 mars 2024. Un temps fort pour le Syndicat Mixte des eaux de la Gâtine (SMEG) qui œuvre depuis des années pour assurer la meilleure distribution d’eau potable possible dans toutes les communes qu’elle dessert.


La nouvelle réserve d’eau potable a été inaugurée ce vendredi 22 mars.

“ Cette bâche qui peut contenir 1 400 m³ d’eau potable vient compléter l’ancienne, située juste à côté et qui date de 1982 ”, rapporte Philippe Albert, président dudit Syndicat. “ Avec cette nouvelle réserve, la pression d’eau au robinet a été nettement améliorée, notamment dans le secteur de Châtillon-sur-Thouet. ”


Philippe Albert, président du Syndicat des eaux de Gâtine.

Dans cette commune, deux entreprises sont plus particulièrement gourmandes en eau potable : la Caveb d’un côté et, de l’autre, la Blanchisserie de l’Adapei localisée sur la RN 149, à la sortie de Parthenay en direction de Bressuire.

Une opération d’envergure
Au-delà de la simple distribution de l’eau, cette nouvelle bâche va faciliter aussi les travaux à effectuer sur l’ancienne construite en 1982 et qui contient 1 000 m³ d’eau.
“ Auparavant, c’était impossible de les réaliser sans couper l’eau ”, explique Anne-Lise Autret de la société VERDI, maître d’œuvre de cette opération d’envergure, qui précise : “ Il n’était pas possible de construire un château d’eau sur ce site. Il n’y avait pas l’espace suffisant. ”


Sur la terrasse de la réserve d’eau en service depuis juillet de l’été dernier. Elle côtoie celle construite en 1982.

“ Si nous avions dû le faire, nous l’aurions construit il y a de nombreuses années, en un lieu plus élevé… ”, ajoute Philippe Albert. Saint-Martin-sur-Fouilloux par exemple. “ Un château d’eau existe déjà à Mazières-en-Gâtine. ”

Des aides
Les deux réserves d’eau de la ZAC des Loges, connectées à un nouveau système de pompage permettent de traiter deux millions de m³ d’eau potable à l’année.

“ Un réservoir, c’est 12 heures d’autonomie en eau. ” Le site peut pousser dans les canalisations jusqu’à “ 5 000 m³ par jour en moyenne l’hiver et 9 000 l’été ”. Autant d’eau traitée en amont pour qu’elle devienne potable. Elle est puisée dans le Cesbron et à la Touche-Poupard.

770 870,79 € ont été investis dans la construction de cette bâche. Sur cette enveloppe globale, 183 600 € parviennent de l’Agence de l’eau Loire Bretagne ; 154 336 € du Conseil départemental des Deux-Sèvres ; 172 906 € de la préfecture des Deux-Sèvres via la DSIL (Dotation de soutien à l’investissement local) et 260 028,79 € du Syndicat Mixte des eaux de la Gâtine.

Le chiffre : 27 448 abonnés
Le SMEG compte (chiffre 2022), 27 448 abonnés à l’eau potable. Le Syndicat transporte jusqu’aux compteurs quelque 3 750 415 m3 d’eau via 2 007 km de réseaux et 21 réservoirs.

À savoir : un peu des eaux de Gâtine au Togo
Depuis 2018, le Syndicat Mixte des eaux de la Gâtine vient en aide à des associations locales qui œuvrent pour l’arrivée de l’eau potable dans certaines contrées du Togo.
“ Jusqu’à une période récente ”, explique Philippe Albert, président du Syndicat Mixte des eaux de Gâtine, “ nous versions des subventions à des associations. Aujourd’hui, par leur intermédiaire, nous finançons directement les projets sur place. ”

L’enveloppe a été considérablement augmentée. Les chiffres des concrétisations depuis 2018 parlent d’eux-mêmes.
Nombre de création/réhabilitation de puits : 10.
Nombre de création/réhabilitation de forages : 36.
Linéaire de canalisation : 8,5 km.
Nombre de création de bornes-fontaines : 29.
Nombre de construction de châteaux d’eau : 2.


Inauguration d’une fontaine au Togo grâce aux aides du SMEG.
 
If Saint-Étienne | 11.03.2024
Bonson : Imaginer un vrai centre-ville d'ici 2040
Comment imaginer une véritable centralité pour la petite ville forézienne d'ici 15 ans ? Pour y répondre, la commune de Bonson, appuyée financièrement par son intercommunalité Loire Forez et Epora, a confié au groupement Verdi Ingénierie/Onnix, une étude urbaine pour repenser son centre-ville. Une démarche participative, associant les usagers, a été inaugurée via une balade urbaine.


Quelques centaines d’habitants au lendemain de la Guerre, 4 331 en 2021… Après une période de stagnation dans les années 1990-début 2000, le village devenu petite ville qu’est Bonson a vu sa démographie repartir à la hausse ces dernières années. Et comme souvent, ce changement d’échelle, typique de la périurbanisation du sud Forez, ne s’est pas accompagné de la constitution d’une centralité propre à l’identifier, à fédérer ses habitants. 


Le périmètre d’étude comprend cinq points clés du centre-ville.

C’est pour imaginer son centre-ville de demain, relever le défi d’“ un lieu plus vert, plus accessible, plus dynamique ” que la commune de Bonson, appuyée par son intercommunalité Loire Forez, a engagé le groupement rhodanien Verdi Ingénierie – Onnix. Un défi participatif. Début mars, une quarantaine de Bonsonnais, riverains et commerçants du centre-ville, ont ainsi répondu présents à l’invitation de la municipalité. Accompagnés d’Amélie Leguay, cheffe de projet pour Verdi, et d’élus, ils ont parcouru les cinq secteurs clés du périmètre d’étude, échangeant sur leurs besoins et aspirations pour leur cadre de vie.



Une synthèse de l’étude… en BD
“ Est-ce que la place de la mairie est un lieu de rendez-vous ? ” ; “ Les mobiliers urbains présents sont-ils adéquats ? ” ; “ Pratiquez-vous le covoiturage ici ? ”. Autant de questions qui ont permis de dresser un premier état des lieux, nourri par les observations et les suggestions des participants. “ C’est à vous d’imaginer la ville de demain ”, leur a rappelé Marcel Giacomel, adjoint municipal de Bonson chargé de l’aménagement, soulignant l’importance de cette phase de concertation pour construire un projet urbain en phase avec les attentes des citoyens. Cette balade urbaine est donc la première pierre d’un travail global de projet urbain, engagé par Loire Forez et cofinancé, aussi, par Epora, pour un montant total de 34 000 €.



L’étude urbaine s’étalera sur une année et permettra de définir les orientations d’aménagement du centre-ville d’ici 2040, en matière d’espaces publics, d’habitat et de commerces. Afin de rendre accessible le contenu de l’étude à tous, une bande dessinée sera réalisée par l’artiste lyonnaise Eloïse Vanhouteghem. “ L’idée est de vulgariser les termes techniques et de les illustrer pour une meilleure compréhension ”, précise celle-ci. La première planche de la BD sera diffusée en version numérique courant avril.
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